Cathychou

Ayant été occupé à autres choses ces derniers temps, je n'ai pas vraiment eu le temps de suivre la campagne électorale. C'est pourquoi je ne pourrai pas vous en dire long dans cet article. Avec ma culture générale, je peux toutefois vous présentez les principaux partis et donnez mon avis sur chacun d'entres eux. Commençons d'abord par le parti de Mario Dumont : l'action démocratique du Québec. Possédant 26% des voix selon un sondage, l'ADQ a de minces chances de se retrouver au pouvoir. Le peu qu'il pourrait obtenir, c'est quelques députés dans l'opposition (d'après mon jugement personnel). Les idées du parti et leurs projets ne favorisent pas la classe moyenne (contrairement à ce que Mario Dumont clame haut et fort). Elles favorisent plus tôt les classes en haut de la classe moyenne. Leurs idées sont éparpillées à gauche et à droite un peu comme si on avait lâché un sac de ballon dans une cour d'école. Viens ensuite la blague des élections 2007 ; le parti Libéral du Québec dirigé par Jean Charest. Le chef est un moutons qui nous raconte des bobards et qui s'imagine que le Québec possèdent un budget deux fois plus gros qu'il a en réalité. Son dernier mandat a été un désastre pour le Québec. Ses deux principales promesses (améliorer le système de la santé et baisser les impôts) n'ont pas été réalisées. Quant à moi, les québécois se jettent en chute libre (sans parachute) si ils votent pour ce parti. Si les sondages sont vrais, c'est 33% des québécois qui vont réaliser qu'ils ont fait une erreur (qui durera 4 ans). Le dernier parti, dirigé par le charmant André Boisclair est nul autre que le parti Québécois. Le chef possède un excellent sens de la communication ce qui est un des rares points positifs du parti. Leurs promesses sont très bonnes et ont tendances à charmer les québécois (surtout souverainistes). Elles sont aussi très grandes, même trop. J'appelle ça rêver en couleur. Ils pensent que diriger une province, c'est quelques milliards de dollars qu'on place ici et là et puis voilà. De plus, l'annonce d'un réferendum sur la souveraineté à la première année était une erreur. Les nationalistes qui ne veulent pas d'un Québec souverain n'iront pas voter pour un parti qui prône cette idée. Finalement aucun des principaux partis me plaît. Plusieurs votes vont êtres gâchés et les personnes seront déçus à la fin du mandat comme à chaque fois. Selon moi, si les sondages s'avèrent vrais, le parti Québécois risque fortement de se retrouver au pouvoir (minoritaire bien entendu).

L'histoire américaine fut touchée par un nombre incroyable de crimes. On pourrait même avancer que les États-Unis ne serait pas les mêmes aujourd'hui sans eux. En passant par des vols de banques organisés à la minute près aux meurtres froidement comis, tout s'est vu. On dit que le temps est l'ennemi de la justice ; les preuves disparaissent ou se perdent, les souvenirs s'effacent et les témoins se volatisent. Certains crimes n'ont toujours pas été élucidé et les coupables jouissent encore de leur liberté. D'autres enquêtes ont été dissimulées au grand public par les autorités américaines pendant plus de cinquante ans sans que l'on sache vraiment pourquoi.

Le 14 janvier 1947 à Los Angeles aux premières heures de la journée, une jeune femme fait la macabre découverte d'une femme sauvagement mutilée. Son corps a été coupé en deux au niveau du bassin, deux entailles ont été faites sur les côtés de sa bouche et finalement son corps porte plusieurs ecchimoses. Cette découverte fit la manchette des journaux pendant plusieurs semaines. Le FBI y affecta plus de 400 hommes et le peuple américain n'avait que trois mots sur sa bouche : The Black Dahlia. C'est ainsi que la victime se faisait appeler par ses connaissances (dû à ses cheveux d'un noir jais). Après plusieurs années d'enquête assidu, le dossier se ferma sans aucune raison et cette histoire se retrouva malgré elle dans l'oubli.

Elizabeth Short, le Dahlia noir

Aujourd'hui 20 mars 2007, voilà plus de cinquante ans que ce crime fut commis. Pourtant plusieurs livres sont sortis dernièrement ainsi qu'un film (le sujet de mon article). La raison de ce déclenchement d'intérêt soudain envers ce crime, je vous l'explique. Parmi les deux raisons mentionnés plus haut (premier paragraphe), tous s'appliquent à l'enquête du Dahlia Noir. La raison la plus intriguante, c'est celle de la dissimulation d'information. Or récemment, une loi sur le libre accès à l'information a été votée au parlement américain (Freedom of Information Act). Le public a désormais accès à toutes les archives du FBI. Rapports d'autopsie, résumés d'enquête, photos et plusieurs autres documents importants y sont présents. Des gens ont fouillés et ont trouvés des renseignements importants. Parmi ces gens se trouvent des auteurs. Ces auteurs ont alors pris ce qu'ils trouvaient intéressants de ces archives pour en faire leur propre histoire.

Mia Kirshner dans le rôle d'Elizabeth Short

C'est ainsi que James Ellroy écrit son livre sur le Dahlia Noir. L'auteur s'est inspiré des faits vécus pour en faire une histoire quelque peu farfelu. Basé sur son roman, le film The Black Dahlia fut par la suite réalisé. Les trentes premières minutes du film relate les vrais faits puis l'histoire tourne vers l'extraordinaire.

Affiche du film

On fait la conaissance des personnages qui deviennent de plus en plus exaltés au cours du film. On suit toujours les deux mêmes enquêteurs : Bucky (Josh Harnett) et Lee (Aaron Eckhart). L'enquête leur rentre dans la tête à un tel point que cela en devient obsessif. Le récit est vraiment dure à suivre puisque plusieurs différentes histoires sont présentes en même temps. À un certain bout du film, on se demande même qu'est ce que ces histoires ont à faire avec l'idée principale. C'est seulement à la toute fin que les pièces du puzzle se mettent ensemble, mais le puzzle reste une toile de l'art moderne. On comprend qui est l'assassin mais on ne comprend pas le mobile du crime. On comprend les histoires qui entourent le crime, mais on ne comprend pas vraiment le rapport avec le sujet principale. Le dénouement de l'histoire est vraiment tiré par les cheveux et le jeu des acteurs à ce moment n'est pas digne du sujet. Il faut admettre toutefois que Scarlett Johansson y joue vraiment bien son rôle. De plus, les traits fins de cette actrice rappelle ceux qu'avaient les dames des années 50. C'est donc un très bon choix d'acteur pour ce rôle.

À gauche, Josh Harnett et Aaron Eckhart. À droite, Scarlett Johansson

Je trouve dommage que ce film ait été raté puisque l'idée de base et les faits vécus sont vraiments intéressants. Le réalisateur et l'auteur ont manqués leur coup en ajoutant des personnages cyniques à l'histoire, des récits incohérents et une fin qui nous laisse sur des interrogations.

Depuis longtemps et encore plus depuis deux semaines, la question du racisme au Québec suscite beaucoup de controverse. Un récent sondage a démontré que les québécois étaient un peuple vraiment raciste. Or, je considère cette donnée fausse puisque depuis la nuit des temps nous accueillons une variété de cultures dans notre pays. En voyant les résultats du sondage, plusieurs nationalités on pu se sentir victime de raciste mais dans un deuxième sondage (de Léger Marketing soit dit en passant une firme de sondage très réputé) il semblerait que la population québécoise ne soit pas véritablement raciste ce que je considère plus fondé que le premier sondage. Le comportement qu’ont certains québécois envers les ethnies peut sembler parfois racisme mais ce n’est pas nécessairement le mot que je donnerais à la définition. C’est un peu comme une sorte de questionnement, de réaction au nouveau. Nous étions habitués à notre culture, notre nourriture, notre odeur et puis en moins d’un siècle, ils débarquent par milliers en amenant avec eux des nouveautés. Lorsqu’un québécois réagit drôlement  à une action posé ou à une odeur inconnue ce n’est pas parce qu’il est raciste, c’est simplement que son acuité olfactive n’est pas habituée à ce genre d’odeur ou son rythme de vie ne correspond pas à celui de la nouvelle ethnie. Certains le traduisent comme étant du racisme, mais je le traduis plus tôt comme une réaction à quelque chose de nouveau. Cette réaction marche aussi dans les deux sens. Les autres ethnies ne sont pas habituées au laisser-aller des québécois ou à leurs coutumes.

De nos jours, peu sont les couples qui restent ensemble éternellement. Plusieurs raisons peuvent expliquer ce phénomène. Le mariage est de moins en moins reconnu comme une alliance et un engagement. Les jeunes couples le prennent plutôt comme une occasion pour faire la fête et se marient souvent sur un coup de tête après quelques mois de relation plus ou moins sérieuse. Autrefois, le mariage était sacré et l'infidèlité était vraiment mal vu. Mais depuis quelques années, elle est presque rendue une mode. Les moyens pour être infidèles sont d'autant plus facile. La révolution informatique permet de communiquer à quiconque en temps réel (donc de garder contact avec un être apprécier), le cellulaire, avec ses multiples fonctions, offre le même avantage, les hôtels et motels se trouvent désormais à chaque coin de rue et ont des tarifs très abordables (40$ pour 4h). Les gens en quête de bonheur manquant peuvent donc facilement cacher leur jeux. En quête de bonheur manquant, oui! Puisqu'ils n'ont pas les plaisirs désirés dans leur couple actuel, ils vont voir ailleurs. Bien ou mal? Je ne pourrais me prononcer. Il y a trop de conditions pour décider quel parti je prends. Par exemple, si un homme saoul trompe sa femme dans un bar alors qu'elle est absente, ce n'est pas si grave en autant qu'il avoue son infidélité. Mais si ce dernier a des rencontres amoureuses et sexuelles avec une autre femme, ce n'est pas acceptable. C'est manquer de respect à l'autre. C'est comme dire devant le vendeur de Canadian Tire : «Je vais aller voir à Home Depôt, ici ça vaut pas de la merde!»

Deux vidéos trop bon, le premier plus que le deuxième (même si il est long, le premier est en français contrairement au deuxième qui est en espagnol)

Myspace Codes

Dans le prochain article que moi et mes camarades écriront, nous allons encore une fois parler de Regina Assumpta. L’angle que nous allons aborder est toutefois différent : on interrogera certains professeurs pour avoir des scoops à leur sujets. Il sera évidemment très intéressant. Les professeurs que nous comptons rencontrer sont M. Dubreuil, Mme Chabot, M. Rivest, M. Farley, M. Landry et tous ces autres qui ont marqué par l’humour notre secondaire.

Le 11 novembre, comme à tous les ans partout dans le monde, on commémore les victimes qu’on fait la première guerre mondiale. Le coquelicot est sur tous les vestons et le drame sur toutes les bouches. Cette année, il a été particulièrement médiatisé. Peut-être trop. Pendant que la présentatrice de l’émission spéciale d’une heure divulguait les différents épisodes de cette guerre, des nouvelles provenant d’Irak défilait sous la bande bleue.

                                                                   

Un week-end particulièrement sanglant en Irak, mais ça, personne n’en parle. Il n’y a pas de date commémorative pour les victimes du génocide rwandais, de la guerre en Palestine. C’est pourtant des évènements qui on fait plusieurs victimes, peut-être pas six millions, mais le compte s’en approche peu à peu. On accorde une immense importance à un évènement qui s’est passé il y a plus de 50 ans alors que dans le monde, les gens crèvent au bout des tirs ennemis. Mais ça, c’est dans 50 ans qu’on va le regretter.

Pour plusieurs, partir à la découverte d’un pays ou d’un continent pour y rencontrez les divers gens est un rêve inatteignable. Principal sujet du film Carnets de voyages, il met en contexte Ernesto Guevara et Alberto Granado qui sillonneront, de l’Argentine au Pérou, le continent latino-américain. À cheval sur leur moto, la Poderosa, ils prennent d’abord ce périple comme une aventure. Mais celle-ci tourne vite en une expérience qui affecte la vie d’Ernesto Guevara, une des têtes dirigeantes de la révolution cubaine. Au cours du voyage, ils découvriront les difficultés que vit le peuple latino. Par contre, ce n’est seulement que dans les trente dernières minutes du film qu’on voit l’impact qu’ont les rencontres sur le personnage. On comprend donc tardivement l’objectif de ce film. Notons toutefois que les images en noir et blanc sont touchantes et le jeu des acteurs est époustouflant. Un film qui vaut la peine d’être regardé.

Mercredi soir, dans le célèbre loft, un des lofteurs a du faire un choix difficile. En effet, après avoir été choisi Mr. Muscle du loft, le maître du loft a remis à Charles 5000$ en argent comptant à remettre à la lofteuse de son choix. Au début de la semaine, nous avons pu observer qu'une idylle se formait entre Marie-Ève et Charles. Il était donc presque limpide que l'argent lui serait remis. Mais à la surprise de tous, c'est Priscilla qui bénéficiera de cet argent. L'ex patronne du loft l'a alors remercié avec un baiser volé sur la bouche.

                                                          

Mais cette décision de Charles a créer beaucoup de problèmes. Une moitié appuyait le geste qu'il a posé, mais l'autre moitié y trouvait une tonne d'inconvénients. Comme par exemple, Priscilla a déjà reçu un voyage GoTravel, on devrait donc laisser la chance aux autres. De plus, quelques lofteurs, comme Mélissa qui semblent avoir beaucoup de problèmes d'argent, l'utiliserait certainement mieux que Priscilla. Mais on s'entend, tous ces gens qui pacotillent dans le dos de l'un et de l'autre désire atteindre les mêmes buts : faire un maximum d'argent et gagner Loft Story 3.

                                             

À la suite de la fusillade au Collège Dawson, une chroniqueuse du réputé Globe & Mail a eu l'idée d'emettre un genre de thèse sur le profil de ses meurtriers. Ses meurtriers auraient été rejeté par la société québécoise tout au long de leur vie. Qui pointe-t-on du doigt cette fois? Les pures laines, évidemmement. Elle fait un lien entre les 3 meurtriers des écoles Polytechnique, Concordia et Dawson et leurs nationalités. Ils auraient été marginalisé par notre société québécoise ce qui auraient grandement influencé leurs actes selon elle. En d'autres mots, elle nous traite de raciste. Ce qui m'étonne c'est quelle même est une québécoise originaire d'Asie. Peut-être a-t-elle vécu des situations racistes dans sa vie, mais elle devrait certainement remarquer qu'ici, les minorités sont les bienvenues et qu'elles ne sont presque plus des minorités tellement il y en a. Il y a surement beaucoup de racisme envers les ethnies mais il y en aussi envers nous, les pures laines. Selon moi, nous sommes une des provinces les moins raciste du Canada et nous sommes fiers de l'être. Du côté de la langue, il est normal que les québécois veulent conserver leur langue d'origine. C'est maintenant presque tout ce qu'il nous reste et on y tient.

                                                    

On est nous-même une minorité au Canada, c'est donc important qu'on se démarque des autres. Son geste était d'autant plus irrespectueux. Mêlé la politique à un tragique incident tout de suite après les évènements est quelque chose à éviter. La famille d'Anastasia De Sousa ne voulait certainement pas voir des débats sur ce sujets dans les journaux les jours suivants le triste drame. Selon moi, elle aurait pu attendre un peu plus longtemps. Je crois qu'aujourd'hui, elle regrette ses paroles, mais a trop d'orgeuil pour s'excuser en public. Je n'avais jamais entendu parler de cette journaliste auparavant mais je la trouve faible d'esprit d'avoir fait une critique dans ce genre sur un sujet aussi sensible.

Hier midi, une éducatrice en garderie a commis un crime irréprochable. Elle aurait empoisonnée les 10 enfants qu'elle supervise à l'heure du midi avec du Crystal meth. Les enfants étaient âgées entre 2 et 5 ans, donc le peu de poison qu’elle a incorporé à leur repas a rapidement fait effet. Ils ont été transportés d’urgence à l’Hôpital pour enfants de Montréal. À leurs arrivées, le médecin a constaté la mort de trois d’entre eux  et les 7 autres ont été placé en urgence mais sont décédés quelques heures plus tard.

Marie Aubé est éducatrice depuis plus de 15 ans à cette même garderie. Ces collèges la décrivent comme quelqu'un d'isolé mais douce avec les enfants. «Comme chacune d’entre nous, elle perdait parfois le contrôle et c’est toujours un peu frustrant, mais elle démontrait aucun autre signe de violence» nous a dit sa collègue qui préfère garder l’anonymat. Elle a été arrêtée, hier soir, à son domicile et son procès se fera au mois de novembre prochain.